J’avais 16 ans, en apprentissage de vente en photographie à Genève, mon patron, chaque fois qu’il passait derrière moi, il me touchait les fesses; et moi j’étais coincée entre le comptoir et ses attouchements. J’ai usé de stratégies pour éviter cela et je n’ai jamais osé lui dire « stop », ou le menacer de dévoiler ces faits. Je regrette de ne pas l’avoir stoppé, c’était comme une chose habituel et banal « le sexe fort »! Je n’ai rien dit, juste esquivé le plus possible. Pourtant le monsieur n’était pas courageux, car en présence de sa femme qui bossait de temps en temps avec nous, il n’osait pas !
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