Il y a 20 ans, tu me faisais chier tous les week-end sans exception pour que je sorte avec toi.
Genre, tu me faisais une faveur de te pencher sur mon cas.
Ton physique était à la hauteur de ce qui se passait entre tes oreilles : haineux, raciste, inculte, pédant, te pensant supérieur car venait d’entrer dans la gendarmerie, aucune discution, aimant le son de ta propre voix de manière inconditionnelle,…
Sans compter ta lâcheté sans bornes, en affirmant à qui voulait que si je ne sortais pas avec toi, j’étais forcement homosexuelle.
Tu as même nié l’avoir jamais dit quand je t’avais mis devant le fait accompli !
Une de tes phrases choc pour que je te succombe, car tu n’avais ni argument, ni charme aucun : « Mais sors avec moi ! Pour me faire plaisir ! », et mon plaisir à moi il était où bordel ?!
Tu a arrêté tes parades/harcèlements le jour où je t’ai pris entre 4 yeux, devant tes bons potes pour te mettre petit, petit, sans jamais ni hausser la voix ni être vulgaire.
Je ne suis pas certaine que tu avais la capacité de comprendre la moitié des mots utilisés ce jour-là.
Il parait même que je t’avais foutu la trouille, faut croire que même une petite nana en avait plus dans le slip que toi.
Si ça se passait aujourd’hui, je t’éclaterai volontiers ton groin avec le premier objet contondant à ma portée !
Pauvre type/tache/nul/blaireau/nase/…
Je n’ai pas oublié ton triste et pathétique spectacle JÉRÔME !