Ma sœura m’a abusé sexuelement
Dès la 6e, elle aimait forcer la serrure de la porte de la salle de bain pour me matériel et me faire des commentaires sur mon corps. Ça a duré jusqu’à la 3ème quand j’avais 14 ans. En 5e, elle m’a roué de coups. Lors de l’été de mes 15 ans, en 2020, elle a commencé à m’insulter tout les jours, me répétant après m’avoir insulte que je méritais de crever seule et que ni mes parents, ni ma famille m’aimait. Dans ce même été, elle a commencé à me toucher, à me tripoter et à me mater, et lorsque je lui ai dis que je détestais qu’elle fasse ça, elle a faillis lever la main sur moi. J’ai donc compris que si j’osais lui redemander d’arrêter, elle allait réellement me frapper. Les insultes se sont arrêtées mi septembre, au début de ma rentrée en 2nd et les attouchements se sont arrêté en février 2020, lorsque j’ai compris qu’il fallait que je coupe tout lien, définitivement, avec elle. Une fois, elle m’a hurlé de lui montrer ma poitrine parce qu’entre sœur, on a rien a se cacher et lorsqu’elle me touchait, elle ajoutait mon mari qui semblerait adoré mon corps de 15 ans et de 12 ans. Je précise que je n’ai pas de mari.
J.H
Chère J.H, votre témoignage rappel que les femmes, tout comme les hommes, peuvent être coupables d’abus sexuel. Vous devriez clairement en parler à vos parents, car cette situation n’est clairement pas normale. Personnelement je vois 3 explications possibles : – Soit il s’agit d’une sorte de jalousie qu’a votre soeur vis-à-vis de vous et il s’agit de sa manière de l’extérioriser. – Soit votre soeur vous abuse sexuellement en connaissance de cause. – Soit votre soeur est atteinte de troubles psychologies. Bref, en parler à vos parents reste la meilleure des choses, quelque soit l’origine des abus.
Ce n’ai pas un outrage mais un viol plutôt non ?
As tu porter plainte ? Ne garde pas ça en toi stp.
En parler à nos parents peut-être effrayant et notre premier réflèxe est de dire qu’il ne comprendront pas, je peux l’entendre et le comprendre. Dans ce cas prenez rendez-vous chez un psychologue et parlez-en mais dans tous les cas ne restez pas dans le silence