Ma fille est en danger
Bonjour,
Je vous écris ce message car je suis complètement désemparée face à notre système judiciaire, qui veut donner un droit de visite et d’hébergement au père de ma fille de 4 ans, alors qu’il a pourtant reconnu devant la juge aux affaires familiales et la psychologue, mandatée pour effectuer une expertise psychologique, avoir eu des pulsions de violence, avoir eu des pensées à caractère sexuelle à son encontre lorsqu’elle était âgée de moins d’un an, s’être masturbé devant elle, s’être imaginé en train de lui faire des attouchements ou bien encore de l’étrangler.
Avant notre séparation, alors qu’elle avait à peine 1 an, ma fille ne dormait plus, avait du mal à s’alimenter, et avait développé une forte angoisse lors des changes et des bains et suite au pressions psychologiques et physiques constantes qu’il exerçait sur nous quotidiennement. Cela a mis du temps afin qu’elle retrouve un équilibre, qu’elle soit apaisée, mais nous y sommes arrivés et aujourd’hui c’est une petite fille pleine de vie et de confiance en elle. Malgré les différentes rencontres médiatisées, elle ne parle jamais de lui et ne le situe pas, il ne représente pas une figure d’attachement comme l’a constaté un psychanalyste qui l’a suivie pendant plusieurs mois.
A tout cela, s’ajoute une plainte pour violences conjugales, ayant entraîné 7 jours d’ITT, déposée à son encontre par son ex compagne enceinte de 7 mois au moment des faits.
Enfin, le contexte familial dans lequel il évolue et ses fréquentations représentent un danger supplémentaire. Son père a été condamné à 15 ans de prison pour viol sur mineur et pédophilie. Il est issu d’une fratrie de 5 enfants ayant tous été placés, car sa mère représente un réel danger face à sa négligence. Un de ses amis proches, qui est également l’oncle de sa compagne actuelle, sort tout juste de 2 ans d’incarcération pour détention d’image pédopornographique.
Je suis convoquée le 28 juin devant le délégué du procureur, car après 2 jugements et 2 fois 6 mois de rencontres médiatisées, la loi prévoit de laisser son père être seul avec elle, une fois par semaine. J’ai refusé en février 2022 par écrit de lui laisser ma fille, car je n’ai aucune preuve d’un quelconque changement chez lui. De son côté, il a déposé 9 plaintes pour non présentation de mineur.
Mon cœur de maman est effrayé et déchiré à l’idée que la justice pourrait lui confier ma fille.
Je vous lance un appel au secours, face au danger réel et imminent que risque ma fille, et surtout face au déni de la justice, qui est sensé statuer dans « l’intérêt de l’enfant ».
Face à cette situation, certains m’ont répondu qu’il fallait attendre qu’un acte se produise pour être en mesure de la protéger.
L’intérêt de l’enfant passe avant tout, aujourd’hui elle n’a aucun intérêt à entretenir ce lien toxique, et le pire pourrait se produire. La laisser entre ses mains serait la mettre à nouveau en danger.
C’est pour cela qu’aujourd’hui je vous demande de l’aide, afin de prévenir au lieu de guérir. Afin que mon enfant soit protégée, sans avoir à risquer sa vie, et pour que la justice reconnaisse qu’il y a un réel danger.
Je ne sais vraiment plus quoi faire.
Merci par avance de toute l’aide que vous pourrez m’apporter.
Je ne saurais pas taider ,mais avec l’application “ma sécurité” tu as un tchat avec la police nationale si ça peut t’aider d’avoir des conseils avec eux.
Bon courage.
Avez vous des preuves enregistrées de sa violence, ou des messages virulent?
Gardez-les pour preuves.
S’il vous envoie quoi que ce soit de message agressif gardez-le ce seras une preuve, vous pourriez tentez de rentrer en contact avec son ex copine pour voir si elle aurait conservé des preuves et vous pourrez vous en servir pour proteger votre fille.
Acheter lui un portable à votre fille pour lui montrer comment enregistrer son père et qu’elle le garde discrètement.
Vous ne dites pas l’âge de votre fille mais j’ai mis des conseils plus bas.
Elle n’a que 4 ans et demi, je refuse de prendre le risque de lui laisser que se soit avec téléphone ou autre sachant les risques.. Les preuve ce sont ses propres dire face au jaf et à la psychologue mandaté pour l’expertise psychologique..
Ma fille est âgée de 4 ans, et que ce soit avec un téléphone ou autre je ne prendrais pas le risque.. Il suffit d’une fraction de seconde pour que les choses dérape et que son innocence lui soit volé..
Pour le tchat ce n’est pas la peine, malheureusement notre système judiciaire attend que le mal soit fait.
Les preuves sont dans le premier jugement et l’expertise psychologique, se sont ses propres dire.
Seulement après les 6 derniers mois de visite médiatisé un droit de visite classique lui a été accordé, sans preuve de quelconque suivie psychologique..
Bonjour.
Protection enfance en danger :
04 13 31 13 31