****** et **** **** sont enfin décédés. Mes deux oncles (pédocriminels) m’ont violé dès mes 3 mois. J’ai fait un travail sur moi qui m’a permis de voir ce qu’il s’est passé.
C’est cette odeur de rance qui m’est revenu en premier. J’ai été victime de ces dégénérés pendant quelques années, une sidération, une tétanie de tout le corps, je faisais des crises pendant une vingtaine d’années je tombais dans la rue avec des 20 de tensions..
Mon frère ainé ********, lui s’est amusé sur moi lorsque j’avais 9 ans. Je me souviens de son sexe énorme et de ces mains, ongles sont sexe bandait de travers avec une grosse veine dessus, et puis un trou noire. Il m’a dit qu’il me tuerai si je parlais!!! Il me frappait souvent dans les bras et coups de pieds dans le ventre.
J’ai été soumise dans certaine de mes relations, le plus souvent je tombais sur des pervers narcissiques..
Lorsque j’ai demandé réparation à mon frère il m’a traité de folle, que je devrais suivre une psychothérapie!!! Que les attouchements entre enfants ce n’est rien .
Jusqu’à aujourd’hui j’avais peur! Oui j’avais peur de mon frère qui est une armoire à glace..un homme d’affaire important! Je n’ai plus peur depuis aujourd’hui, plus jamais je laisserais quelqu’un me toucher, me frapper. Je sais qu’il y a prescription, mais ces 3 ordures sont des prédateurs, des pervers de la pire espèce.
Mon frère il se regarde tous les jours dans la glace avec son botox, les traits parfaits, tout est lisse… il lui suffisait de me dire:” Excuse moi ******, je suis désolée pour tout ce que je t’ai fait.”
Ce frère n’existe plus pour moi. Il m’a coupé de toute ma famille. J’ai toujours eu l’impression d’être seule au milieu des autres.
Je ne remercie pas mon père qui a pris à la rigolade les agressions de mon frère, même si il est mort, je voulais “lui dire “qu’il aurait pu réparer de son vivant. J’ai décidé de me libérer de ces 3 grosses merdes “humaines” qu’ils brulent en enfer! Je les emmerde profondément .
Je ne peut que vous conseiller de parler à un psy de confiance,les merdes humaines de nos jours il y en a trop.