L’employé de pharmacie, toujours en poste cet après-midi, est un pourri, à Paris

Cet après-midi, le gros salaud était toujours au boulot.
Il vantait sa trique…  » Quand vas-tu me sucer la bite ? Elle est toujours très propre.  »
C’est ce qu’il m’a dit, à l’intérieur de l’officine, en portant la main à sa braguette, et en manipulant ses testicules.

Je l’ai dénoncé à la police, voilà plusieurs mois, après l’avoir fait, longtemps auparavant, auprès du Conseil de l’Ordre des pharmaciens, et auprès — bien sûr — du pharmacien, qui continue pourtant à l’employer…

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9 Commentaires

  1. Coucou

    Hi hi hi!! Oh oh oh!!! J’aime beaucoup l’humour, les rimes, la poésie satirique, la rage, l’obstination de vos posts, bravo Caroline.

    • Coucou

      Version améliorée:

      Pour Caroline qui fulmine

      C’est Mimi le soumis qui trottine
      derrière le comptoir de l’officine
      de la pharmacie, à Paris
      où sa vie se pourrit,
      où jamais il ne rit.

      D’ une main les médocs,
      de l’autre, dans le froc,
      il s’astique l’ estoc,
      qu’il sait plutôt en toc,
      il fait rouler ses boules
      et le voilà qui déboule
      fin prêt pour le troc.

      De l’autre côté de son monde,
      l’inaccessible ronde.
      Ce qui le rend hagard
      c’est la fraîcheur du regard
      de toute belle poulette.
      Il en lâche des boulettes
      tel un Gilles de la Tourette,
      hanté par ce qui l’habite :
      «Quand vas-tu me sucer la bite ?»

      Hélas devant ses playmates,
      Alors qu’il en a plein ses casemates,
      Mimi ne prend pas son Topiramate.
      Et donc sa pauvre tête est sale,
      oh oui, toujours très sale.
      Pour compenser, il s’emballe
      de son matériel à deux balles
      que jamais il ne déballe
      et il affirme, ce vieil infirme,
      ce que personne ne confirme :
      « Elle est toujours très propre. »
      Il n’y a pas plus impropre.

  2. Coucou

    Pour Caroline qui fulmine

    C’est Mimi le soumis qui trottine
    derrière le comptoir de sa pharmacie
    à Paris.

    D’ une main les médocs,
    de l’autre, dans le froc,
    il s’astique l’ estoc,
    qui sait, plutôt en toc,
    il fait rouler ses boules
    et le voilà qui déboule
    prêt pour le troc.

    De l’autre côté de son monde,
    l’inaccessible ronde.
    Ce qui le rend hagard
    c’est la fraîcheur du regard
    de toute belle poulette.
    Il en lâche des boulettes
    tel un Gilles de la Tourette,
    hanté par ce qui l’habite :
    «Quand vas-tu me sucer la bite ?»

    Hélas devant ses playmates,
    Mimi ne prend pas de Topiramate.
    Alors sa tête est sale,
    toujours très sale.
    En revanche de plus bas, il affirme:
    « Elle est toujours très propre. »
    Ce qui est bien impropre.

    • Coucou

      J’en oublie un vers: lire:
      En revanche de plus bas, il affirme
      ce vieux porc infirme:
      «- Elle est toujours très propre. »
      Ce qui est bien impropre.

    • n n

      Ah! excellent Coucou! merci, vraiment, merci!

  3. Coucou

    En revanche de plus bas, il affirme
    ce vieux porc infirme:
    «- Elle est toujours très propre. »
    Ce qui est bien impropre.

  4. Jerom Auriol

    pourquoi certains posts( identiques à la lettre près comme celui-ci )reviennent périodiquement ?

    • Coucou

      Pour les réactiver, pour ne pas les laisser tomber dans les tréfonds oubliés du blog loin en arrière, parce que les auteurs des posts n’ont pas obtenu réparation. Et que leur indignation ne faiblit pas.

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