Le président de ******* ******* (*****)
Suite au suicide de mon époux, je suis la victime par ricochet d’un inceste dont l’auteur était mon beau-frère. Il s’avère que son jeune filleul et cousin germain, de douze ans son cadet, s’est également suicidé avant mon conjoint. En conséquence, l’auteur des violences sexuelles intrafamiliales a redouté la fin de l’amnésie traumatique de son frère et la révélation de ses agissements pendant plusieurs décennies. C’est pourquoi, il avait tenté par tous moyens de faire obstacle à notre mariage et n’avait pas félicité le futur marié. Une fois les faits prescrits, ni le Président de ******* *******, ni sa compagne enseignante dans un collège de ******, ne pouvaient se permettre une telle « publicité ». Ce n’est donc qu’après le décès de mon époux que son frère signalait sa disparition inquiétante aux autorités. Devenu fils unique, il croyait avoir gagné sur tous les tableaux. Héritage de ses parents compris. C’était toutefois sans savoir que le secret m’avait été révélé, par écrit de surcroît. Que les victimes de ses récidives soient psychologiquement prises en charge et que les autres reposent en paix.