Je demande le divorce depuis 5 ans à l’amiable. Il est directeur d école. Je subissais des violences psychologique et physique depuis avant le mariage mais ne savais pas que le couple ce n était pas cela, je ne sais pas ce qu est le couple. Il a refusé l amiable, a demandé le judiciaire et a obtenu une garde alternée suite à un mensonge au juge. Je suis effondrée par la justice de hommes…dont des femmes qui prennent le parti des hommes. Je n ai plus de rapport depuis 5 ans et suis belle, intelligente, sympa avec un poste à responsabilité également donc autonome financièrement.
Dès la première rencontre il y a 24 ans il m avait prévenu que si je le quittais il me tuerait…j avais 21 ans et je pensais que c était une passion romanesque, c était ma première fois, je n étais pas préparée je regrette. Je me suis confessée avant le mariage en 2007 et le prêtre n a pas conseillé d arreter ce mariage alors que je lui avais clairement dit que parfois, il s énervait et me mettait la tête contre le parquet et moi je m énervais en retour en l insultant, je suis reprochable. Lors de ma demande de divorce il m’a dit qu il me détruirait.
De l extérieur le couple était parfait et personne ne se serait douté du dénigrement. J ai perdu en estime de moi et ne me suis pas rendue compte de ce que je subissais…dans le fond je suis lâche car à un poste exposée je n ai pas envie d attirer la honte. Je suis heureuse de ne plus être avec lui mais il utilise les enfants pour m atteindre.
Je veux juste divorcer. Suis-je folle comme il le dit, voilà quelques faits ponctuels non révélateur du reste du couple qui était confortable :
-retour de maternité 2009 : impose sa famille. Exclue la mienne. Propose une soirée sexe. Le bébé pleure, je ne peux pas. Casse la vitre du fioul, des morceaux de verre sont autour de la tête de l enfant. Je suis avec bébé dans le lit terrifiée.
-fausse couche 1 tardive : seule à l hôpital après une grossesse arrêtée sous AG
-fausse couche 2 : va jouer au ping pong. Seule
-bébé 2 /2016: j ai fait un travail sur moi, bébé 1 va bien et j ai repris mes études écrit des livres pour enfants.
-2017 : passage en réa de bébé 2. Je supplie le père de venir car l état est critique. Je reste seule. L hôpital se questionne, je l excuse en indiquant qu il a son travail (d instit !) et garde l aîné.
En parallèle je le supplie de me rejoindre avec l ainé dans une chambre réservée aux familles pour les enfants qui vont mourir.
-miracle bébé 2 vit. Je vais voir le médecin du travail demande une mutation pour me rapprocher d un hôpital. L obtient et pense à un nouveau départ sous réserve que nous suivions une thérapie familiale.
L aîné va mal. Aujourd’hui aussi. Le père dénigre toute mes mises en place.
Comme nous sommes enseignants/directeur la société croit que ça va aller parentalement.
Non, la violence continue par l intermédiaire des enfants otage.
-2018 : mutation. Ment sur la vente de la maison. 2020 : je refuse de me réengager avec lui (je viens d une famille aisée) pour un achat. J
Confinement : je ne distingue plus la peur de l envie et lui dit. Il dit qu il va prendre un appt, c est ma porte de sortie …il ne le fera pas. Je lui demande quand il va le faire, il le fait.
J annonce la séparation aux enfants, vais voir une avocate. J ai été mal conseillée.
J aurai du passer au judiciaire immédiatement, je voulais divorcer vite.
Je ne suis plus que l ombre de moi même depuis la garde alternée de février 25 où il envahit ma vie.
D autres exemples :
– 2019 je cuisine en t shirt long pas sexy, il vient et prend une photo de ma culotte à mon insu
-2011 2012 2013 j achète des lunettes de soleil et nous partons à un festival de jazz, il me dit que je vais faire ma pute. Mon fils est derrière.
-quand je change de radio dans la voiture me tape les mains : j ai commencé à verbaliser en 2019 que non ce n’était pas normal de façon à ce que les enfants ne reproduisent pas cela.
-soirée entre amis a bu, refuse que je conduise, quand je prends la voiture m insulte.
-à chaque fois que je conduis me diminue
-montre des photos de moi en 2009 en post accouchement à sa famille, je n ai qu un drap. Et je pensais que c était pour nous
-insiste pour la sodomie. J ai tjs refusé, heureusement. Une fois en 2003 a tenté et a indiqué que c était une erreur dans son mouvement. Connard. Je l ai giflé et lui ai dis qu il ne savait pas viser.
-m a volé 15300 euros après avoir eu des conduites à risque et mis bébé 1 dans un ravin en 2012…je me vois à la banque, lui qui me dit qu il faut vite acheter la voiture qu il a cassé et que l assurance remboursera. Quand je lui demande la somme 3 ans après il rétorque que je suis vénale, c est le declencheur ainsi que la fausse couche et le passage en réa. L argent était au nom de l enfant et appartenait à mes parents.
-la thérapeute familiale a nommé forcage les actes sexuels.
-regardait des pornos et disait que ct ma faute s il en était là
-n acceptait pas que je prenne l initiative des actes sexuels.
-m a remplacé rapidement après la séparation tout en disant qu il m aimait.
-ne respectait pas limites clairement indiquées : ne pas entrer dans la sdb ne pas toucher mon anus ne pas fouiller dans mon sac
-mes habits sont prêts pour le lendemain : le soutien gorge au dessus. Une nuit, où je refuse l acte sexuel, il le déchire à coup de pied (le soutien gorge est dans un tissage dentelle solide, il s y reprendra une demi-dizaine de fois).
– avant la mutation (qui est une facon de ne pas rester en campagne loin de tout) me gifle, nie l avoir fait…je suis effondrée je le frappe puis m enferme dans une alcove de la maison qu il ne connaît pas.
-lors de la dernière médiation ne comprend toujours pas qu il ne doit plus m envoyer 10 messages par jour, mettre le pied dans la porte, tambouriner lors du passage de bras. Explique qu il m.informe des décisions qu il prend pour les enfants sauf qu il ne demande pas le consentement et impose. Il ne voit pas la différence entre informer et imposer.
Je pense me battre pour que la garde reste classique élargie au mercredi car les enfants y étaient mieux. Il a obtenu la garde alternée en disant qu il avait les enfants du vendredi au jeudi soir ce qui est inexact et prouvable par la baby sitter. C est ce qui me rend malade…la décision de justice est fondée sur un mensonge que la juge a cru.
J aurai été un homme, et lui une femme, il n aurait pas eu la garde.
J ai besoin de mettre des mots sur ce vécu pour savoir comme agir. Merci de comprendre que cela représentait une partie de la relation jusqu’à devenir invivable : il y avait des moments où il était normal.
-un fait : quand on arrivait devant le portail de la maison et que je passais devant la voiture pour l ouvrir, il faisait semblant d accélérer. Je lui ai dis que cela me faisait peur mais cela le faisait rire et c était pour rire selon lui. Non. Alors j ai trouvé des solutions soit je n ouvrais plus, soit j ouvrais le petit portail puis le grand, soit je prenais bébé dans mes bras…mais même avec bébé il le faisait mon stress n en était que plus grand.
-j ai appris la séparation par sms.
-j ai reçu une demande de divorce par sms le 30.1.21 par une copine à lui qui venait de décrocher au téléphone. J ai demandé le divorce amiable le 1er.2.21 après m être enfin séparée en août 2020.
Je l ai rencontré en 2001.
Help pour protéger mes enfants et me libérer