Le marseillais
Pour lui c’était un jeu, d’abord il passait un doigt entre mes fesses juste assez pour me faire réagir et lorsque je me retournais, tout le monde affichait un large sourire… Un jour il m’a pressé la poitrine comme si j’étais une femme, c’est là que j’ai compris qu’il irait plus loin si je n’affrontais pas la situation. Un jour il m’a menacé de mort, j’ai résisté, j’ai appelé la police qui m’a dit de voir avec ma direction. Ce monsieur qui était mon responsable hiérarchique, a été convoqué puis mis a pied mais pas viré… Moi je suis passé pour un branquignole et j’ai dû me reconstruire tout seul… Ce porc vit aux U.S.A depuis, il s’appelle Nicolas M… Merci à la police et aux enfoirés qui se cachent derrière leurs carrières. Si je suis à nouveau dans ce cas de figure un jour, je me ferais justice moi même probablement.