JosyanAir
C’était il y a longtemps, mais quand les souvenirs se sont amoncelés, la petite fille de 3.. 5… 8 ans et plus, a ressenti les mêmes douleurs infligées, physiques, psychiques, sexuelles. Tout s’était effacé sous la souffrance, les menaces, les contraintes, la terreur, les interdits de soins et le silence obligé.
C’est prescrit pour la justice, pas pour la victime, pas non plus pour ceux qui cherchent encore le silence et la soumission. Le harcèlement leur donne du pouvoir et beaucoup parmi les voisins, l’église, les autorités, les soignants se laissent embobiner.
Le dire aussi pour panser les blessures, pour ne pas oublier, ne pas en faire porter les descendants et permettre de mieux protéger les victimes.
Etait-ce habituel, fréquent de s’en prendre aux petites filles ? En tout cas, tout le monde savait et s’en accommodait.
Si les parents avaient de larges torts, ils étaient sous emprise de faux amis et le tortionnaire était tout puissant, armé de complices et accompagné de visiteurs d’autres pays.
Laisser une enfant à un pervers narcissique, c’est prendre le risque de la détruire.
Triste déni collectif de l’abus sexuel et de l’inceste.