J’étais amoureuse d’elle. On avait longtemps flirté ensemble. On était très proches, physiquement. Mais elle jouait avec mes sentiments. Je lui ai donc demandé de ne plus être aussi tactile avec moi. C’était ma décision. Je lui demandais juste de la respecter.
Fol espoir. 15 minutes plus tard, ses mains se baladaient déjà partout sur mon corps. Sa mère était là, et me regardait la repousser, lui dire “non” de vive voix.
Lors d’un événement en plein air, elle a recommencé. Cette fois-ci, je me suis débattue. Mais elle était plus forte que moi. Elle me maîtrisait. Elle affichait un sourire narquois. “De toute façon, t’aime ça”, disait-elle. Quand je repense à ce sourire, je tremble et je frissonne encore. Je ne peux pas voir cette fille, même en arrière-plan d’une photo.
Je me suis rappelé d’une fois où, à l’aide d’un “ami”(qui finalement m’a aussi agressée sexuellement), elle a tenté de mettre sa main sous ma culotte de force, et ça m’a paru évident: cette fille est dangereuse. L’amour m’avait rendue aveugle.
En tout cas, ce soir là, autour de nous, il y avait la foule, il y avait sa mère, et personne n’y a prêté la moindre attention. Ce n’est une agression sexuelle pour personne à qui j’en ai parlé. Quelle idée, une femme qui en agresse une autre! Je n’ai donc eu droit à aucune reconnaissance, aucun soutien, aucune aide.
Chère Anonyme,
Je comprends et ressens votre amertume, votre solitude, votre détresse et votre désespoir !
Déjà quand on est hétérosexuelle et que l’on est agressée sexuellement, c’est la galère d’être reconnue en tant que victime et d’obtenir de l’aide !
Alors, quand on est homosexuelle, il n’y a plus de compassion ni d’aide ni de reconnaissance, juste des jugements et des accusations du genre “si tu n’étais pas déviante, ça ne te serait jamais arrivé ! Tu l’as bien cherché ! Tu n’as que ce que tu mérites !”.
Vous avez bien fait de nous parler de vos agressions sexuelles ! Elles sont graves ! Avez-vous tenté de porter plainte ?
Le pire c’est d’aimer une personne qui se joue de vos sentiments ! On en prend plein la figure ! Je sais ce que c’est et j’ai failli en mourir ! Alors, vous avez toute ma tendresse et tout mon soutien ! Vous n’êtes plus seule !
Comment va votre vie maintenant ? Avez-vous pu vous reconstruire ?
Votre truie est-elle toujours dans les parages ou vous ne la voyez plus ?
Vous pouvez me parler si vous le souhaitez, je reste à votre écoute et prête à vous aider si vous en avez besoin!
De tout cœur avec vous ! Vous avez toute mon affection !
Tout d’abord, merci beaucoup de votre message, il m’a vraiment fait chaud au cœur.
Pour vous répondre, mes amis ne sont pas homophobes, mais ils véhiculent à travers leur pensée des stéréotypes sexistes et homophobes. Etant donné que c’est une fille qui m’a agressée (considérée comme un être “doux” et “sans défense” par la société), que je suis homosexuelle (le cliché veut que les lesbiennes sautent sur tout ce qui ressemble de près ou de loin à une femme) et que j’étais amoureuse d’elle (donc, forcément consentante, cf viol conjugal), on a facilement tendance à penser qu’au fond, je le voulais, que c’était juste une connasse manipulatrice mais en aucun cas une agresseuse, ou encore, à minimiser ça comme si c’était juste un jeu ou quelque chose d’insignifiant (cf l’invisibilisation et la décrédibilisation des lesbiennes), on m’a aussi gentiment ricané au nez. On a même essayé de me faire croire qu’elle était la victime, que j’avais été injustement méchante avec elle, que je ne m’étais pas assez souciée de ce qu’elle ressentait et que toute cette violence n’avait jamais vraiment existée et je suis tombée dans le piège: je me suis excusée. Je me suis excusée et je me suis dit que toute cette violence n’avait jamais vraiment existée.
Non, je ne porterai jamais plainte. J’aurai beaucoup trop honte. Il faut savoir que si j’ai coupé les ponts avec cette fille, en refusant de me rendre aux sorties où elle est présente (j’y suis allée une fois après l’histoire de l’événement et elle a réitéré ses gestes déplacés). Mais je n’oserai jamais porter plainte. J’ai honte de tout ce qui s’est passé. Mes amis ne comprendraient pas (ils ne comprennent déjà pas que je fuie les sorties où elle est là). Mon agresseuse ne comprendrait pas (elle n’a même pas conscience ce qu’elle a fait, à savoir qu’elle est bien jeune, 15 ans au moment des faits, moi 17). Et surtout, la police ne comprendrait pas. J’ai peur qu’on se moque de moi. En plus de ça, je suis dernièrement allée voir la police pour une sombre affaire de pédophilie qui sévit dans ma famille, et malgré les éléments louches (on m’a menacée de viol, il y a eu des gestes déplacés sur des petites filles etc), ils n’ont même pas ouvert d’enquête. Alors la police, je leur fait un bon gros doigt d’honneur, et je suis pas prête d’y refoutre les pieds.
Oui, cela a été un véritable déchirement de constater que celle que j’aimais, non seulement était perfide et abjecte, mais qu’en plus, elle me manquait fondamentalement de respect en me traitant comme sa chose sans prendre en compte ni mes émotions ni mes décisions.
Il y a encore quelques jours, je pensais que oui, mais la réalité, c’est que non. J’ai lu des trucs sur la sidération psychique et la dissociation, et je suis exactement dans ce cas. Je suis complètement déconnectée de mes émotions. Je parle de mes agressions sexuelles comme on parle de ce pigeon qui a chié sur mon pull hier ou de ce truc pourri dans mon frigo qui a dégagé une odeur pestilentielle toute la semaine , c’est-à-dire comme un truc pas très cool et assez désagréable, mais pas spécialement grave, comme quelque chose qui arrive et qui fait partie de la vie. Je n’arrive pas à intégrer que c’est grave, même si je me le répète. C’est un signe que je suis encore traumatisée, je crois bien.
Chère Lilo,
Merci de votre réponse !
Pensez-vous qu’un prof d’Espagnol s’y connaisse en Maths autant qu’un prof de Maths ? Pourtant ils sont profs tous deux, mais l’un n’a pas les connaissances de l’autre et vice versa !
Pour déposer plainte, surtout quand on est mineure, c’est à la Brigade des Mineurs qu’il faut s’adresser ! Ce sont des policiers judiciaires ! Mais, vous ne les trouvez pas dans les commissariats mais dans les Préfectures et les Sous-Préfectures !
Ils sont à même d’intervenir pour les crimes d’inceste et de pédophilie ! Ils vous écouteront et vous aideront, vous verrez !
Cherchez la Brigade des Mineurs de votre département sur Google. Si c’est trop loin de chez vous, contactez-les par téléphone ou par courrier ou courriel.
Vous pouvez sinon adresser votre plainte au Procureur de la République de votre département. Coordonnées sur Google.
Vous pouvez aussi contacter le 119, qui est le numéro de tél de l’Association Enfance en Danger.
Des amies qui ont des propos homophobes ou sexistes et qui en plus quand vous dites que cette fille de 15 ans vous a violée, ne vous croient pas, minimisent les faits ou vous nient, ne sont pas des amies !
Ouvrez les yeux et entourez-vous de personnes qui vous aiment, sont bienveillantes envers vous et surtout vous croient !
Pour sortir de votre isolement, il existe des Associations pour les Lesbiennes. Pourquoi ne pas les contacter ? Elles pourraient même vous aider à vous défendre !
Association : ADHEOS
Site : adheos.org
Voilà leurs actions :
– MILITE, LUTTE contre l’homophobie et les discriminations LGBT
– DIALOGUE, INFORME, sur l’homosexualité et la transidentité
– ACCOMPAGNE, LUTTE contre le mal-être des jeunes LGBT
– SENSIBILISE, PREVIENT des risques de transmission HIV, IST
– REPRESENTE, DEFEND, se porte partie civile en cas d’homophobie ou de transphobie
– CREE DU LIEN SOCIAL,
– RAPPROCHE, contre l’isolement et la solitude,
– ALERTE, SURVEILLE, SAUVE des vies… dans la limite de ses moyens
Contactez cette Association qui vous aidera !
Vous n’êtes pas seule Lilo ! Il vous faut juste trouver les bonnes personnes et surtout être mieux entourée !
Personne n’a le droit de vous toucher sans votre consentement ! Elle l’a fait, elle est coupable ! Elle doit être punie !
Pour le fait que vous vous soyez excusée, alors que vous n’aviez pas à le faire, pardonnez-vous ! Vous avez été manipulée par de fausses amies ! Changez-en et vite !
Courage Lilo ! Je reste à votre écoute !
De quoi auriez-vous besoin pour vous sentir mieux ?
Chère Lilo,
Pourquoi avez-vous honte de ce qui s’est passé ? Parce que vous n’avez pas pu vous défendre ? Parce qu’elle était plus forte et qu’elle vous maîtrisait alors que vous êtes plus âgée qu’elle ? Parce qu’elle vous a humiliée devant tout le monde ?
Celle qui doit avoir honte, c’est elle ! Vous n’êtes coupable de rien ! La coupable de cette agression sexuelle, c’est elle ! Et pour la deuxième agression sexuelle c’est elle et son ami !
Il faut que vous vous défendiez et que vous fassiez quelque chose contre elle et son ami, sinon vous vous détesterez car vous vous sentirez lâche et pour ne pas en souffrir vous vous couperez de vos émotions !
Il faut savoir que pour qu’un fait devienne un souvenir conscient, il faut qu’il soit lié à une émotion ! Sans émotion, on ne mémorise pas le fait au niveau conscient ! Le fait est alors refoulé dans l’inconscient !
Quand on débranche ses émotions, on ne ressent rien ! On refoule tout dans l’inconscient ! Puis, des années plus tard, on a un cancer, une sclérose en plaques, du psoriasis, de l’eczéma, tout un tas de maladies incurables et dégénératives !
Je me suis coupée de mes émotions quasiment toute ma vie et je continue parfois à le faire lorsque la douleur psychique est trop aiguë !
Bilan, j’ai 50 ans et j’ai des maladies incurables et dégénératives et mon handicap est d’au moins 80% ! Je suis tombée malade à 38 ans !
Si je suis sur ce site, c’est pour éviter à des victimes de faire les mêmes bêtises que moi ! Les aider et les soutenir aussi !
Lilo, ne vous coupez pas de vos émotions, votre Inconscient absorbera tout jusqu’à ce qu’il déborde et là, votre corps vous le fera payer !
Affrontez et battez-vous ! Dénoncez votre truie et son ami ! Si une personne vous rit au nez, cherchez un interlocuteur qui vous croira ! Il vous faudra vous battre plus qu’une autre, mais vous serez sur je chemin de la guérison !
Ne vous taisez pas ! Hurlez votre douleur! Soyez courageuse et forte ! Punissez les coupables au sein de votre famille et cette fille et son ami, si vous voulez conserver l’estime de vous-même!
Dans un autre commentaire, je vous donne des infos et les coordonnées d’Associations que vous pouvez contacter pour rompre votre isolement !
Toute ma tendresse Lilo ! Et vous pouvez continuer à échanger avec moi, si vous le souhaitez ou revenir au besoin sur ce site pour obtenir de la compréhension et du soutien!
Association pour Lesbiennes :
• Le CEL ou Centre Evolutif Lilith est une association lesbienne féministe créée en 1990 à Marseille qui réunit plus de 120 adhérentes.
Elle propose des activités conviviales, militantes ou sportives tout au long de l’année, ainsi qu’une ligne d’écoute le jeudi de 19h à 21h au 06 99 55 06 02 . Vous pouvez aussi nous retrouver sur Facebook .
mobile.dudasite.com/site/celmrsneowordpress?url=http%3A%2F%2Fcelmrs.neowordpress.fr%2F&dm_redirected=true#2590
• ASSOCIATIONS & COLLECTIFS
Tu as envie de te sentir utile ? Besoin de conseils ? Tu cherches à faire des rencontres ou à lutter pour l’égalité des droits ? Suivez le guide…
barbieturix.com/associations-collectifs/
Ce lien permet de connaître toutes les Associations LGBT
• LES BENINES D’APIE
Site : lesbenines.org
Ou nous écrire à notre adresse email :
[email protected]
Ou à notre adresse postale :
Les Bénines d’Apie
Boite 59
Maison de la vie associative et citoyenne
181 avenue Daumesnil
75012 Paris
Vous pouvez par ailleurs contacter Les Bénines d’Apie par le répondeur au :
Tel : 06 75 42 55 86
Nos activités sont :
Randonnées.
Visites culturelles : expositions, châteaux, architecture, ateliers d’artistes, …
Sorties cinéma et théâtre.
Club de lecture.
Pique-niques festifs : 14 juillet, repas de Noël et galette des rois, …
Des échanges avec d’autres associations amies.
Merci beaucoup pour votre aide. Je ne savais même pas qu’il existait une brigade des mineurs (je suis sur Paris, je ne peinerai pas à en trouver une je pense).
Merci de m’avoir indiquée une association, peut-être que je la contacterai.
Vous avez sans doute raison, mais c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire, et pour le moment, je ne m’en sens pas capable. D’autant plus que mes amis (je ferais exception de mon meilleur ami et d’une bonne amie à qui j’en ai parlé) se croient sincèrement en faveur de la cause LGBT et des droits des femmes. Je pense qu’ils n’ont même pas conscience qu’ils véhiculent des stéréotypes, et j’ai du mal à leur en vouloir à eux personnellement. J’en veux plus à la société et à ses stéréotypes de merde. En plus, lors d’une autre agression sexuelle (cf c’étaient des amis, posté juste avant ce témoignage ci), l’un d’eux m’avait mise en garde vis à vis du comportement d’un des garçons et tous m’avaient ardemment défendue. Ils avaient fait la démarche de sévèrement rappeler à l’ordre mes agresseurs quand j’en étais incapable, et je leur en avait été reconnaissante.
Quant au fait de porter plainte, je ne veux pas. Pourquoi je ne veux pas? Whooo, c’est complexe à expliquer. De la même manière que pour mes amis, j’ai tendance à penser que mon agresseuse n’a même pas conscience du mal qu’elle a fait, “qu’elle ne sait pas ce qu’elle fait”, comme dit l’expression. Et là où pour mes amis, ça se justifie par le fait qu’ils sont la proie de stéréotypes qui les dépassent, appliqué à elle, ça devient tout de suite plus bancal. “Arrête de pousser, elle a juste abusé de ta faiblesse pour te toucher”, ça, c’est ce que me dit ma raison. J’ai parfaitement conscience que c’est un mécanisme de culpabilisation courant chez les victimes d’agressions sexuelles, pourtant, le savoir ne m’empêche pas de placer mon agresseuse en position de victime, que je le veuille ou non. Je me dis que si je porte plainte, la pauvre ne comprendra pas ce qui lui arrive, et que de toute façon, ce sont des bien grossières accusations que je lui porte. “Tu l’as vu par toi même, c’était juste un jeu. Arrête de délirer en te prononçant “victime d’agression sexuelle”, on dirait ces féministes extrémistes qui crient au viol dès qu’on les frôle.” Et vous savez quoi? Je suis dans une ambivalence permanente entre ces deux sentiments depuis que j’ai rédigé ce témoignage. Plusieurs fois, je me suis demandé si il valait pas mieux le supprimer, parce que c’est”ridicule”, “nul”, “insignifiant”. Tous ces stéréotypes de merde de cette société de merde, je les ai intégrés. Ça me fout la rage. J’aimerai m’en débarrasser. Mais je sais que pour ça, il me faudra plus que la raison elle-même.
Juste de pouvoir parler.
Parce qu’elle m’a humiliée devant tout le monde. Parce que j’ai cru en elle et que je me suis trompée. Mais surtout, parce qu’on m’a tellement dit que c’était pas possible que j’ai intégré que j’avais pas vraiment dû subir ça, et que donc, si ma raison disait que j’avais été une victime, c’est qu’elle devait forcément affabuler. C’est pour ça que j’ai honte. Parce que je me pense folle.
Vous avez raison. Je pense qu’avoir témoigné ici est un premier pas, qu’en pensez vous? Il y a encore quelques jours, je n’aurai même pas pensé en parler. L’élément déclencheur, c’est un effroyable cauchemar dans lequel j’étais violée par mes propres amis. Parmi eux, il y avait B (qui n’est pas un ami du coup), mais aussi l’ami qui m’a conseillé de m’excuser auprès de mon agresseuse. Je crois que ce rêve en dit long sur moi.
Lilo vous avez très bien fait de poster votre témoignage ! N’en doutez jamais !
À 17 ans, quand je vous lis, je vois une jeune fille très intelligente ! Vous réfléchissez, vous analysez et vous êtes tiraillée par des sentiments ambivalents !
Vous n’êtes pas la seule ! Pas facile quand il s’agit de soi de savoir si son choix est le bon ! Alors, vous tergiversez !
Laissez-moi vous aider ! Vous vouliez supprimer votre témoignage car vos amis vous ont quasiment convaincue que vous vous faisiez des idées ! Seulement, votre instinct et votre raison vous crient que non, que vous avez été bel et bien agressée et que vous êtes dans le vrai !
Suivez votre instinct et votre raison !
Merci beaucoup (j’ai 18 ans, mais les fait remontent l’année dernière)
Je vais en parler à des amis qui me soutiennent, contacter une association et peut-être aller voir un psy, pour commencer. J’en ai besoin. Je dois me reconnecter avec mes émotions.
Vous devez faire le vide, fermez les yeux et pensez à ce qui s’est passé, à ce que vous avez ressenti au moment où elle vous a touchée, là, vous saurez !
Si vous ne vouliez pas qu’elle vous touche, c’est une agression, même si vous ne lui avez pas dit non ! Un non consentement ne veut pas dire oui !
Consultez une psy me paraît être une excellente décision !
J’y arrive pas bien. Je sens que les émotions sont juste là, devant moi, mais que j’arrive pas bien à les saisir. Pour mon autre agression, j’arrive mieux à ressentir. Et ce que je ressens est glaçant. C’est bien simple: je tremble comme une feuille.
Je lui ai dit “non”, “arrête” à plusieurs reprises, au bout d’un moment, j’ai même crié/parlé fort (je ne me souviens plus bien).
Edit: Ouh là, je devrais peut-être aller dormir. Bonne nuit. Encore merci.
Ce que vous décrivez sont les symptômes d’une victime d’agression sexuelle !
Vous voyez bien que ce n’est pas cette fille la victime, mais vous !
Quant à l’ami B qui vous a conseillé de vous excuser, votre rêve qui est la parole de votre inconscient, vous révèle que c’est un ennemi, et qu’avec son conseil, c’est comme si finalement c’était lui qui vous avez agressée !
Bonne nuit Lilo ! Si vous voulez continuer la discussion plus tard dans la journée ou un autre jour, je reste à votre écoute !