31 décembre 2013, j’organise une soirée par fêter la nouvelle chez mon père, dans une grande fermette. On boit, on fume, je perds le contrôle. Un de mes « amis » invite d’autres personnes. Il part en voiture. Je me retrouve avec beaucoup d’inconnus chez moi. Il se plante avec sa voiture. Je pars à sa recherche. Introuvable. Je décide d’en informer les autres, qui me reprochent de ne rien avoir fait. Je me fais frapper, je me defends. Une côte fêlée. Tout le monde part. Cet ami revient. Il me touche, insiste. J’appelle un ami. Il vient me chercher. On dépose chez lui m’insistant. Je me retrouve avec cet ami, avec qui j’étais très proche depuis mon retour d’Australie où j’avais déjà été violee mais sans en être consciente encore à cette date la.
Il le ressert un verre, c’était la fête chez lui. J’accepte et demande si je peux me coi her quelque part. Il me propose sa chambre. J’accepte volontiers. Il continue la fête en bas et moi je dors. A une certaine heure, il vient le réveiller, je peux à peine ouvrir les yeux, je suis intoxiquée. Il se met sur moi, je laisse faire car on avait déjà cette proximité. Mais il commence à tirer mon collant, je refuse, je le tire. Je dis non. Les yeux fermés, épuisée, sans force. Et je ne sais pas comment et en combien de temps, mais il s’introduit en moi. Je ne me souviens pas des détails. Mais je me suis réveillée sur le côté, en frisson, avec du sperme partout. Voici mon deuxième viol, car malheureusement, un premièr engendre souvent un second quand nous n’avons pas guéri du trauma. Mais encore une fois, je ne mets pas les mots dessus. Il m’a fallu plus de deux ans pour comprendre. J’ai porté plainte, mais classe sans suite car infraction non suffisamment caractérisée. L’enquêteur a pourtant fait de son mieux. Cette personne, jamais n’avouera ce qu’elle a fait. J’avais confiance en lui, je crois que c’est le plus difficile à accepter.
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