Nous étions 3 sœurs à nous battre depuis des années pour faire reconnaître nos droits. Un de nos 3 frères, D, bloquant la succession de nos parents.
Nous ne sommes plus que deux : La plus jeune de nous trois, S, décède le 29 juin 2010 d’un cancer du sein. Nous n’avions jamais compris pourquoi elle détestait notre mère. Elle laisse des écrits posthumes. Qui expliquent qu’elle fût violée par ce frère D, vers l’âge de 12 ans et que c’est elle qui fût accusée par notre mère.
L’activité Auberge paysanne montée avec son mari, mitoyenne à l’indivis occupé sans contrepartie par D, là où pouvaient être ses écrits, disparait dans un violent incendie 5 ans jour pour jour après son décès.
A la lueur de ces révélations, les soupçons d’inceste par D, sur notre mère atteinte d’un Alzheimer, se crédibilisent. Il avait réussi à obtenir sa tutelle en appel, et à partir de là, s’opposer à tout contact extérieur (famille, aide à la personne,…).
Doutes ravivés d’inceste sur un frère handicapé psychique sur la vie duquel il s’impose aujourd’hui. Très manipulateur, se faisant passer pour la victime, nos alertes aux juges et psychiatre désigné, restent vaines.
Nous apprîmes par ailleurs, que ce frère alla trouver un thérapeute se disant très attiré par les enfants et peur de passer à l’acte. Refusant son aide, il partit en claquant la porte, ce qu’il réitéra auprès d’autres. Il consulta alors de nombreux psychiatres pour se faire mettre en invalidité psychiatrique et finit par en trouver un qui accepta. Ce qui lui donne protection dans ses méfaits.
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