inceste
bonjour j’en parle réellement pour la premiere fois par quoi commencer mes souvenir on pris la fuite mais celui la est ancrée en moi j’avait environs 7 ou 8 ans je dormait avec mes freres et sœur dans la memil sourit e chambre sur des matelas par manque de place bref un soir mon frere de plus de 6 ans de moi se rapproche de moi enfin rapprosche son sexe du miens coller a moi sans que je comprene quoi que ce soit et se frotte a moi tout en etant au aguet mais il se frotte et moi je reste la j’obeis je ne parle pas je ne crie pas je ne pleure pas il sourit il se frotte et je suis la sans comprendre ce qui m’arrive pourquoi je ne dit rien pourquoi je m’en veut je sait que ceux qu’il est en train de faire est mal mais je ne dit rien j’ai honte j’ai peur et il recommence dés que l’occasion d’etre coucher pres de moi se presente il a peur qu’on le surprenne et moi je ne dit rien je ne consente pas pas j’ai peur c’et tout je grandit comme ca trahit dés petite au sein de ma famille et part la suite on me reproche de nep as accordé ma confiance mais qu’est ce qu’ils en savent eux que tout le monde aille se faire foutre j’ai souffert et j’en souffre encore je vit p
Oui, qu’est-ce qu’ils en savent tous ceux là qui viennent avec leurs gros sabots, leur arrogance parfois, qui croient tout savoir mais qui ne savent rien, et qui en plus nous reprochent d’être ce que nous sommes aujourd’hui ?
Trop/pas assez prudentes, trop/pas assez confiantes, trop/ pas assez agressives, trop/pas assez féminines … STOP!
On les tient éloignés, loin de nous, très loin de nous, et on se protège de leurs réflexions dont on n’a pas besoin, et qui font plus de mal qu’autre chose (on peut visualiser un bouclier)
Quelquefois ce n’est pas par méchanceté, c’est par maladresse. A ceux-là on doit pouvoir leur dire : “ce que tu me dis, ce que tu me reproches, me blesse; tu me demandes de dépasser des limites que je ne peux pas dépasser aujourd’hui, alors par respect pour moi, merci de ne plus me demander cela” (et on peut l’inviter à parler de lui/d’elle, de ce qu’il/elle ressent face à notre comportement plutôt que de tourner les choses en reproches)
“TristeRéalité”, vous avez parlé aujourd’hui pour la première fois, c’est énorme. Ca force le respect et cela montre votre courage. Cela exprime peut-être aussi votre désir, votre besoin plutôt, de vous libérer de cette souffrance? Pourriez-vous envisager de vous offrir un espace sécurisé, où votre parole pourrait être entendue et respectée, auprès d’un psychothérapeute? Avez-vous pensé à quelques séances d’hypnose qui pourraient, en les ramenant à votre conscience, vous libérer de la charge de vos souvenirs enfouis? La petite fille que vous avez été a été agressée, et trahie, et elle s’est toujours tue, alors que c’est trop lourd, beaucoup trop lourd à garder en soi.
Prenez soin de vous, et de la petite fille toujours vivante en vous et qui a tant de choses à exprimer.
Je vous souhaite le meilleur, je vous souhaite de trouver les ressources pour vous relever de cette violence que votre frère vous a faite.