Il voulait me partager avec ses copains
Lors d’une soirée, les copains de mon gars avaient picolé et ils ont demandé à mon gars s’il pouvait jouer avec moi, il a dit à ses copains tout ce qui est à moi et à vous. Appeurée quand je les ai vu arriver à plusieurs sur moi. Je suis partie en courant. Le lendemain, j’ai demandé des explications à mon gars, il m’a juste dit que c’était une blague mais ce n’est pas l’impresssion que j’ai eu ce soir-là.
Très dangereux, vous avez évité la tournante de peu, réfléchissez bien à la prochaine beuverie, allez-vous courir le risque d’y passer ?
Si vous le pouvez dites au-revoir à ce copain, prenez-en un autre, ce ne pourra pas être pire. Mais choisissez bien. Pas dans une porcherie.
Quelle abomination ! Vous avez échappé à un piège affreux ! Je ne comprends pas, ou peut-être trop bien comment on peut en arriver à de telles horreurs. Virez-le, vous n’avez pas à vous justifier. Ces sales petites ordures de pourceaux non seulement ont ouvertement évoquer le fait de “s’amuser” avec vous mais en plus il les a “autorisés”, c’est absolument immonde ! N’en doutez pas une seule seconde: le viol, la tournante et c’est le début de la prostitution. Vous avez évité une mise en esclavage en règle, ne ‘loubliez pas. Lisez le site de la fondation Scelles, les ouvrages de Richard Poulin, ceux de Lydia Cacho… Vous avez été avilie à l’état de branloire à porc, c’est absolument abominable ! Un vrai déni de votre personne, vos droits humains fondamentaux ! En plus de cela ils osent minimiser en affirmant que c’était une blague ! L’alcool a révélé leurs intentions et leurs pratiques de pourceaux, je n’ai qu’une seule recommandation: virez-les de votre vie A JAMAIS ! Et prenez le temps de trouver une personne qui vous aimera et vous respectera en toutes circonstances. Courage et soutien.
“Tout ce qui est à moi est à vous”, c’est là que cela dérape, vous n’êtes pas sa chose, vous n’êtes pas un objet, vous n’êtes pas à lui, vous êtes à vous, on ne vous utilise pas, c’est vous qui décidez de ce que vous faites de vous, pas les autres.
D’habitude les hommes répondent : la voiture, ça ne se prête pas, le fusil (de chasse) ça ne se prête pas, la brosse à dents, ça ne se prête pas, pour mieux enfoncer le clou à celui qui insiste, ils ajoutent: “comme la femme, cela ne se prête pas”.
Et là, l’emprunteur a compris.
Merci pour tous vos commenctaires.
Je ne suis plus avec lui depuis quelques mois.
Comme vous dites je ne suis pas un objet et on ne décide pas à ma place de ce que je veux faire de moi ou mon corps.
Pour le moment, je suis seule et je suis trés bien. Je ne cherche pas l’amour, j’attend qu’il vient à moi.
Bonne continuation à tous