Harcèlement de rue
Le 9 novembre 2015, je rentrais chez moi. Un homme me dit “bonjour”, je ne lui répond pas, il me traite de putain.
Des ados derrière moi se mettent à rire. Mon père était à l’agonie, je n’ai jamais pu le revoir. Il est décédé quatre jours plus tard le jour des attentats du Bataclan.