Harcèlement incroyable de la part de mon voisin durant 6 années
Je venais de m’acheter une petite maisonnette en Bourgogne Sud.
Un voisin était toujours prêt pour me dépanner avec des petits problèmes et me donner des renseignements (j’habite un autre pays)
Il me semblait sympathique et je l’avais donné mes clefs réserves.
Petit à petit, il commençait à essayer de surprendre ma vie, essayer de m’isoler des autres gens et abuser mes sentiments par ses histoires tristes (il est veuf).
En ce moment, je réalisait déjà qu’il portait un intérêt obsessionnel.
Ses cadeaux ont commencé par être quelques poires, quelques tomates…
Le jour où j’ai trouvé douze bouteilles d’Aloxe Corton et un flacon de Chanel 5 dans mon lit, je savais que la situation devenait dangereuse.
Pas moyen de les rendre : il avait tout volé à un autre voisin (son cousin)
Ça ce n’était que le début.
A ce moment là, j’ai contacté la Gendarmerie Nationale.
Réponse (d’une dame gendarme); le harcèlement, ça n’existe pas en France.
Malheureusement, il était bien au courant de mon va-et-vient; il avait déjà rencontré mes ami(e)s et leur avait demandé toutes mes coordonnées et mes occupations.
Résultat : une trentaine de coups de téléphone par jour, et des lettres quasi-quotidiennement (j’en ai des centaines)
Je disais toujours rien à personne, par honte.
La honte qui m’a retenu d’annoncer qu’il ma donné des coups, qu’il m’a serré la gorge, qu’il m’a harcelé sexuellement.
Une situation de six ans d’angoisses, dépression, abus de médicaments, abus d’alcool et de pensées suicidaires.
Le 22 juin cette année, mon médecin m’a envoyé d’urgence à L’hôpital pour obtenir immédiatement des soins psychiatriques.
J’y suis resté trois semaines, la plus belle période de ma (non)vie depuis six ans. La paix mentale d’y être en sécurité était incroyable.
Aujourd’hui, je n’ose pas encore sortir de mon foyer et j’évite les gens, surtout des inconnus.
C’est moi qui paie, pas lui.
“… envoyé d’urgence à L’hôpital pour obtenir immédiatement des soins psychiatriques. J’y suis resté trois semaines, la plus belle période de ma (non)vie depuis six ans. La paix mentale d’y être en sécurité était incroyable.
Aujourd’hui, je n’ose pas encore sortir de mon foyer et j’évite les gens, surtout des inconnus.”
VOISINS AGRESSEURS ASSASSINS!