Bonjour, je souhaiterai obtenir votre point de vue sur l’élargissement de votre mouvement à l’ensemble des violences sexuelle, hommes et femmes. Mon fils ainé a été drogué au ghb en 2018 et a mis fin à ses jour la même année.
Ayant découvert le parcours judiciaire de notre pays, jusqu’à rencontrer le juge de mon affaire pénale, me disant nous savons que c’est bien l’agresseur de votre fils mais sans ADN j’ai décidé de faire un non-lieu. Il est peut-être temps d’apporter une voix commune en forçant nos dirigeants à se positionner sur la condamnation des personnalités et des anonymes faisant l’objet de poursuite pénale d’agression sexuelles.
Que la présomption d’innocence soit de part et d’autre, pour les victimes comme les accusés présumés.
Pour moi cette démarche dépasse les clivages politique protégeons nos enfants et refusons la nécessité de preuve matérielle bien souvent absente dans le cas d’agressions sexuelles.
Je vous soutiens et souhaites que votre démarche brise le silence trop souvent accordé aux prédateurs sexuel.
Cordialement