Eviter tout contact avec les collègues qui exercent toute violence
Difficile de quitter son emploi (en laissant les ordures massacrer du monde pendant plus de 40 ans en faisant la carrirèe idéale), mais on a des droits.
Il y a de l’aide dans certains syndicats, mais pas forcément au sein du lieu de travail. Demander le contact des syndicalistes nationales spécialisées pour l’égalité des droits.
Paroles de psychiatres, psychotraumatologues, victimologues : pour tenter des guérir des violences, il faut impérativement ne plus être en contact avec les auteur-ices de violences.
Plus on dénonce et plus on trouve de victimes, de témoins.
Les Proc n’ont qu’à convoquer les témoins dont on donne les noms si ces témoins refusent de nous donner un témoignage écrit ou au moins oral à l’employeur devant témoin fiable.
Pas solidaire avec les victimes ? Qu’à cela ne tienne : je donne les identitiés des témoins, avec précisions (lieux, dates, faits, pleurs de telle femme…)
Pas à l’aise avec les syndicalistes hommes et les collègues femmes anti-féministes ? Cherchez de l’aide ailleurs.
Les avocat-es disent que la main courante ne sert à rien (à part vous stresser), autorisez-vous à ne faire que ce que vous vous sentez en mesure de faire.
Un brouillon écrit d’abord pour vous. Courage et merci pour les collègues et les généraitons à venir : vos propres enfants !
Chère anonyme, je vous félicite pour vos deux interventions que j’approuve totalement. Je vous invite à poster des fils de discussion sur le forum si cela vous tente, je pense votre expérience serait utiles à toutes et tous.
En ce qui concerne les violences en milieu professionnel, j’indique toujours cette association:
Association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail
http://www.avft.org/
D’après les retours de plusieurs victimes que j’ai aidées en leur indiquant cette asso, la prise en charge et les conseils sont excellents et très humains.
Encore merci et au plaisir de vous lire.
De tout coeur avec vous.