Edgar Morin, le satyre de la ligne 2
Qui s’indignera des écrits du pseudo-philosophe Edgar Morin, adulé des medias, nonagénaire gâteux se vantant à 95 ans de ses exploits d’ado libidineux dans le métro ?
“Beaux sphinx, culs énormes, qu’avez-vous à dire A la douce main qui circumnavigue ? Ça remue Je suis ému Ça bouge Je suis tout rouge”
C’est un de nos proclamés intellectuels majeurs. C’est dans “Edgar Morin, La Rhapsodie du Satyre du métro, Morin, Cahier de L’Herne, 2016”.
A quoi il faut ajouter Edgar Morin, Mon Paris, ma mémoire, 2013, pp.247-248.
“À partir de seize ans je m’enhardissais parfois à glisser ma main sur la croupe émouvante et commençais à caresser. […] Je ne sais si je l’ai déjà mentionné, mais j’en ai fini par perdre un bouton de braguette.”
Cela rappelle le vieux Léo qui chantait “Ma lucidité est dans mon froc !”.