déni

Jeune, dans une école religieuse, le père d’une autre élève m’agresse dans les lavabos. C’est cette curieuse flamme dans les yeux qui m’a effrayée. Il se précipite sur moi, les mains en avant en racontant des choses incompréhensibles. Je parviens à lui échapper. Le meilleur ? Quand je raconte ça à ma famille et aux adultes qui attendaient dehors : Et bien , non ! Je me suis trompée : il avait une petite fille qui me ressemble bien sûr ! Et c’est pour ça qu’il était si familier ! Toussotements gênés, déni. On ne fait pas de vagues. C’est ce deuxième épisode qui est le pire. C’est cela qu’il faut combattre . Ce silence.

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