6 ans. Square de mon enfance. Un groupe de 3 garçons adolescents (13 et 15 ans). Ils s’amusaient » à me prendre ma poupée et n’ont accepté de me la rendre qu’après m’avoir coincée derrière le muret, mis chacun leur tour leur langue dans ma bouche et la main dans ma culotte.
8 ans. (Et mes deux filles aussi) coursée par un exhibitionniste en érection.
19 ans. Avec une amie. En banlieue. Nous nous rendions chez elle le soir. Nous avons traversé un square. Il faisait nuit. En descendant du bus, nous avons été suivies et agressées par 2 jeunes hommes dans le but de nous violer. Mon amie a reçu des coups. Nous devons notre salut grâce à sa présence d’esprit, qui a joué la morte après avoir chuter violemment par terre. Ils ont eu très peur. Le courant…
Je ne compte pas parmi les agressions les masturbations intempestives (3 particulièrement dégoutantes et insistantes) et qui faisaient plutôt partie de mon environnement de banlieusarde pratiquant 3 heures de transport quotidien.
Je serais bien incapable de faire l’inventaire des blagues sexistes dont j’ai pu être l’objet ou ai été témoin. Encore moins le flot de dragues lourdes qui se finissent très souvent par des injures écœurantes.
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