Au restaurant
Nous étions dans un restaurant assez chic avec ma mère et mon beau-père. Je devais avoir 11-12 ans. La table voisine était occupée par un couple, fin de quarantaine. A un moment, ce voisin de table m’a dit en rigolant que je devais bien manger mon assiette, pour continuer à avoir une forte poitrine comme celle que j’avais déjà. Sa compagne s’est montrée gênée de sa remarque, mais le pire a été la réaction de mon beau-père, qui au lieu de se lever et d’intimer à ce grossier personnage de la fermer, a préféré surenchérir en connivence avec ce gars comme quoi effectivement j’étais bien formée…ma mère s’est interposée sans succès et moi j’ai eu l’appétit coupé toute la journée…je me souviens encore du regard de sa compagne, de son sourire gêné. J’aime énormément mon beau-père, c’est lui qui m’a élevée, mais il m’a tellement déçu ce jour-là…
Bonjour,
Une telle phrase n’a pas sa place. Pose toi les bonnes questions sur ton beau-père. Je te donne un exemple même si j’espère que ton beau-père ne mange pas de se pain. Mon frère qui m’a violée à dit à mon copain qu’il avait un droit de cuissage. Demande toi si ton beau-père est sain. Courage.
Dès qu’il s’agit de seins, les hommes ne voient plus clair, pour eux ce n’est pas grave et puis cela leur fait tellement plaisir d’y toucher d’une façon ou d’une autre.
Le voisin de table était un vrai taré et le beau-père pas clair s’est senti de connivence avec lui, vieille solidarité masculine visant les mêmes intérêts.
Deux minables incapables de respecter les autres, qui n’hésitent même pas à s’en prendre aux enfants. Et des femmes si habituées à toutes leurs déguelasseries qu’elles n’ont même pas le réflexe d’une bonne gueulante. Comment voulez-vous que les abus cessent?