Une soirée, nous étions de sortie avec des amis dont un qui m’appréciait depuis des années sans que ce soit réciproque. Nous avons tous fini la soirée dans un jacuzzi. Rapidement j’ai senti une main se glisser entre mes cuisses puis je me tournai choquée vers cet ami, il me sourit et tenta d’introduire ses doigts dans mon vagin.
Je sortis immédiatement du jacuzzi en vociférant et tentais d’avoir le soutien des autres personnes présentes. Ils me dirent de me calmer et de l’excuser car il avait bu. Furieuse, je m’en allai et fus rattrapée par un autre ami qui ne me proposa non pas du réconfort mais de la compréhension envers son acte, puis il tenta de m’embrasser.
L’alcool n’excuse pas et ne justifie encore moins ce genre d’agissement. Un refus avait été plusieurs fois prononcé avant les faits et cet homme ne l’a pas accepté. Il s’est donc arrogé le droit à posséder mon corps. Ce ne sont désormais plus mes amis.
Au tribunal, le fait d’avoir bu est une circonstance aggravante pour l’agresseur.