J’avais 4 ans, régulièrement j’allais chez des amis de ma grand-mère. C’était un couple. J’ai peu de souvenirs mais je sais que j’allai souvent regarder la TV dans leurs chambres. Un jour l’ami de ma grand-mère (qui était relativement agé) m’a demandé de m’allonger sur le lit et d’écarter les jambes puis il a mis sa main dans ma culotte … Pour moi c’était un jeu, je trouvai ça normal. Cette scène s’est répété de nombreuses fois. Puis un jour, il n’a pas fermé la porte de la chambre sachant qu’il y avait ma mère dans le salon, elle nous a vus et heureusement qu’elle était là car depuis ce jour je ne le revois plus. Je me demande ce qu’il aurait pu faire si ma mère n’aurait pas été là …
J’ai 17 ans aujourd’hui et j’y pense encore. J’éprouve une sorte de haine envers cet homme, il y a eu un procès et il n’a presque rien reçu à par l’interdiction de me voir !
Je ne suis pas là pour me plaindre mais pour dénoncer les faits.
Chère Anonyme,
Vous avez le droit de vous plaindre et plutôt deux fois qu’une ! Ce pourri de pédophile s’en est bien tiré apparemment !
La justice lui a seulement interdit de vous voir ? Il n’a pas fait du tout de prison ?
C’est dingue, on porte plainte et c’est toujours le même cirque !
S’il y avait plus de femmes juges, il y aurait bien plus de porcs condamnés !
S’ils ne veulent pas remplir les prisons, au moins qu’ils les castrent, cela évitera les récidives et de finir comme cette pauvre petite fille de13 ans, Angélique, que j’embrasse très fort ! Repose en paix, ma sœur de cœur !
Anonyme, vous avez le droit d’avoir de la haine pour cette ordure et de le dire tout haut !
Heureusement, que votre mère était là, elle vous a probablement évité le pire !
Comment allez-vous aujourd’hui ? Comment va votre vie ?
La castration pour tous les agresseurs sexuels, peut-être pas mais pour tous les violeurs et a fortiori assassins, oui assurément, sans aucune hésitation. Et je parle de la castration chirurgicale… Une pensée pour la pauvre Angélique, aussi victime du patriarcat qui incite les hommes à devenir des prédateurs. Un jour ou l’autre, il faudra que la société et sa culture criminogène accompagnent ces criminels sur le banc des accusés.