arrête quant on te dis non
un homme portant mon patronyme me capte sur réseaux. On a des amis en commun. On se voit 1 fois 2 fois en copains. Il insiste pour me revoir. Il debarque un soir vers 23 h 30 chez moi. On discute mais il ne se passe tjs rien. Il insiste encore et tjs un soir vers 23 h 30 il vient chez moi. Là nous avons un rapport sexuel limite. Je lui dis plusieurs fois de se calmer, qu il me mal. Il n entend pas tout de suite. Je dois retirer sa main plusieurs fois. J ai eu mal plusieurs jours après. Je l ai revu malgré cela 2 fois. Il était plus calme. Je me demande si la première fois il n avait pas pris de la coke ou un truc comme ça. Je m en veux de lui avoir permis de n avoir pas arrêté quand je le lui ai demandé … J aurais dû être plus ferme et ne plus le revoir …
Chère anonyme, surtout ne vous accablez pas ! Vous n’avez rien fait et n’avez donc rien à vous reprocher ! C’est lui qui vous a manqué de respect et a dépassé vos limites, pire encore, il les a négligées ! Il n’aurait jamais dû faire ce que vous décrivez, encore moins débarquer chez vous à une heure aussi tardive à l’improviste. Ne vous accablez pas c’est lui qui vous a abusée, vous êtes victime de ses agissements. Virez-le définitivement de votre vie en lui signifiant ce qu’il est vraiment: un porc violeur. Sur le plan juridique votre position est délicate car l’intention du viol est difficile à prouver mais je vous invite à prendre contact avec des associations de victimes de viols et surtout à consulter à titre préventif afin d’évaluer les séquelles psychiques de cette relation. Vous trouverez des liens utiles dans le forum section “trouver de l’aide” et surtout n’hésitez pas à nous demander quoi que ce soit, nous sommes là pour vous aider.
De tout coeur avec vous.
Affection, courage et soutien.
Ce n’est pas de votre faute,
il faudrait cependant que les hommes apprennent à entendre et comprendre qu’un non c’est un non,
qu’on peut changer d’avis en cours de route.
Que nous sommes pas des objets pouvant servir à leurs guise et comme bon leurs semble.