Amis de tes frères

Fin de soirée chez moi, je suis célibataire, je laisse dormir chez moi un ami sur le canapé pour lui éviter de reprendre la route, on a trop bu. Et puis, il vient dans mon lit, il insiste. Je dis non, mais j’ai trop bu aussi. Il continue à insister, je laisse faire, je suis fatiguée. Le désir de l’homme est naturel, c’est de ta faute. Je me sens tellement mal au réveil, pas su dire vraiment non. J’ai pas assuré, il m’a touché, j’ai laissé faire, « pourvu que ça se finisse vite! », et lui ne sera jamais inquité comme tant d’autres : elle a consenti. J’en n’avais pas envie, ça me degoute. Et lui de dire devant tout le monde que j’ai pris mon pied. Je suis qu’une merde, tu avais bu, pauvre fille. Il faisait partie de mon cercle d’amis, il veut, il prend quand l’opportunité se présente. Toi, tu restes une femme, j’ai le droit de te posséder.🤮🤢
A l’époque, la honte est sur moi, pas sur lui…et j’ai toujours honte.

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