Je suis indignée. Vous êtes les victimes, pourtant vous n’osez pas réellement dénoncer votre porc.
Des noms, des établissements, des lieux précis.
Voilà ce qui peut stopper le harcèlement.
Ce mal est nécessaire au bien général.
Allez plus loin!
Je suis indignée. Vous êtes les victimes, pourtant vous n’osez pas réellement dénoncer votre porc.
Des noms, des établissements, des lieux précis.
Voilà ce qui peut stopper le harcèlement.
Ce mal est nécessaire au bien général.
Allez plus loin!
c ce que j ai fait , maintenant je me terre dans un hotel miteu… PERSONNE NE M AIDE!
Vous avez raison de le dire : c’est très dangereux pour nous les victimes de donner les noms, car nous ne sommes pas des actrices hollywoodiennes protégées par des gardes du corps et des armées d’avocats. Les prédateurs s’en prennent à nous car ils savent pertinemment qu’ils bénéficient d’une impunité totale. C’est pourquoi la plupart des victimes peuvent juste crier leur désespoir mais ne peuvent pas donner les noms, et pourtant on aimerait vraiment pouvoir le faire.
Déjà, on fait prendre conscience au monde du problème. C’est déjà pas mal.
Après si on voit que ça a un intérêt, on ira peut-être plus loin.
Personnellement, toute ma famille et mes amis (ceux qui connaissaient mes frères et mes parents) m’ont renié et je suis persona non grata.
Pour dénoncer, il faut dénoncer à la justice pas sur un site où les victimes risquent ensuite d’être elles-même (ou eux-même ) accusés et poursuivis J’ai voulu porter plainte, quand j’étais adolescente et deux fois adulte. A chaque fois, des policiers, de villes différentes, m’ont répondu qu’en l’absence de preuves, je ne pouvais faire qu’ une main courante . Je regrette de les avoir écoutés. Maintenant, il y a prescription me concernant. Pour les plus jeunes, j’aimerai pouvoir les convaincre de porter plainte, quoiqu’il advienne. Qu’elles prennent au moins contact avec une association d’aides aux victimes. Coralie.