Je monte dans le TGV Gare de Perrache à Lyon .Un homme, petite quarantaine, s’assoit à mes côtés. L’air de rien, il pose une partie de son anorak rouge sur mes jambes puis glisse sa main sous ma jupe entre mes cuisses. Je suis une dame discrète, classique, de 50 ans passés : cet acte me terrorise. Je reste paralysée, avec l’impossibilité de crier. En état de sidération. L »agresseur descend à la gare suivante de la Part Dieu.
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