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Abus sexuels dans l’enfance et viols par la suite

Bonjour tout le monde, j’aimerais donner quelques uns de mes témoignages.
Je ne sais pas si je dois aller au commissariat afin de porter plainte car j’ai été plusieurs fois déjà et j’ai toujours eu le sentiment d’être la coupable.
Les suites n’ont jamais eu lieu et si j’allais porter plainte pour d’autres faits encore car il y en a beaucoup, je craint que l’on ne me croit pas.
Parler ici m’aidera sûrement.
J’ai mis du temps car j’étais dans un Denis et un choc.
Petite fille, a 6 ans, un ami de ma sœur m’a demandé de lui faire une fellation.
On étais a trois avec lui et ma sœur et il disait devant elle: serais tu capable de sucer la bitte du chien?
À ma sœur de répondre : Mais ça va pas ?! Elle a 6 ans !
N’écoutes pas Sophie, Il parle de golf.
La scène suivante, je monte les escaliers de la maison le trouvant dans le couloir et il me demande si j’ai compris de quoi il parlait tout à l’heure.
J’avais compris. Il m’a demandé si j’étais cap, de le faire avec lui et je l’ai prit comme un jeu de cap ou pas cap sans aucune conscience que cela était quelque chose de sexuel.
Je l’ai fait une première fois et il m’a demandé de le refaire une autre fois plus profondément ce que j’ai fait avant de fuir en courant.
Un vague souvenir me revient ou ma sœur me dit avoir assisté à la scène et qu’elle le dira à maman et que j’étais vraiment sale ou quelque chose comme cela.

J’ai été abusée par mon père une nuit en Pologne alors que je dormais.
Il avait l’habitude de venir du côté du double salon ou je dormais pour y prendre son alcool qui était dans une grande bibliothèque.
Une nuit, je me suis réveillée et il m’observait dormir.
Je lui ai demandé ce qu’il faisait gênée et il m’a répondu très tendrement et bizarrement de me rendormir. la scène suivante,
Je me souvient de pousser des gémissements et de le voir me toucher en me regardant avec une très grande tendresse. J’étais à moitié éveillée quand soudain, je me suis réveillée complètement et les yeux grands ouverts j’ai vu pendant deux secondes ses yeux choqués d’être prit sur le fait plantés dans les miens. Il s’est dépêché de retourner dans son lit de l’autre côté du double salon et il tournait en rond disant : mais qu’est ce que j’ai fait… mais qu’est ce que j’ai fait…
De mon côté, je réalisais pas tout à fait, j’étais dans le choc et puis je me suis mise à beaucoup pleurer mais sans trop sentir d’émotions. J’étais comme vidée de moi même. Plus tard, je suis allée le voir pendant qu’il faisait semblant de dormir en lui demandant ce qu’il s’était passée et il m’a dit qu’il savait pas de quoi je parlais, qu’il dormait.
Le lendemain, j’ai vu dans son regard une attente de sa part. Et il a été rassuré car j’ai fait comme si de rien était car j’avais peur de le perdre. Je me souvient avoir prit cette décision.
J’ai par la suite oublié complètement cela et je m’en suis souvenue à l’âge adulte seulement.
Pour les deux cas racontés ci dessus.

Maintenant que j’y pense, petite fille, mon père vivait dans un hôtel ou les toilettes étaient à l’extérieur, il ne me faisait pas faire pipi dans le les toilettes mais dans le lavabo et quand j’avais terminé, il se retournait avant que je ne sois rhabillée mais ce souvenir la n’est pas assez clair. Je pense avoir oublié des choses. C’était peut être rien de grave.
J’ai comme des flashs d’autres événements qui viennent mais ils ne sont pas encore clair.

À l’âge adulte, j’ai été harcelée par un jeune homme qui entrait chez nous la nuit car ma mère laissait ouvert tout le temps. Elle était fragile psychologiquement.
Il me suivait partout où j’allais et des que je sortais de chez moi, il était la.
J’étais plus ou moins avec lui car je n’étais pas amoureuse mais j’étais attaché et tellement désespérée que je le laissait me harceler.
C’était la mon tort.
Des fois, il débarquait de nulle part quand j’étais dans un endroit et me forçait à rentrer avec lui en m’empêchant d’avancer et en me portant jusque son scooteur en me touchant le sexe également très souvent.
Le problème est que je restait trop vague sur notre relation. On est ensemble on ne l’est pas on l’est on ne l’est pas car il était la et j’étais seule et je l’aimais bien par d’autres côté et plusieurs fois j’ai tenté de lui dire de me laisser mais il ne le faisait jamais et je cedait et rentrait avec lui par exemple au lieu de dire non jus au bout. On ne couchait pas ensemble car j’avais à cette époque des superpositions de vêtements que je mettais pour me protéger et c’était inimaginable qu’un homme me découvre nue. Il devait j’imagine, ne plus en pouvoir.
Une fois, on était dans son couloir et il m’a prise jusque chez lui en faisant semblant de me pénétrer violement, il ma mis en levrette et à fait comme s’il me pénétrait avec les habits me disant: Je voulais te montrer ce que c’est le sexe ou quelque chose comme cela.
Il m’a plusieurs fois forcée à faire des fellations mais le soucis était que mon non n’était pas assez ferme et une partie de moi ayant vécu des abus, recherchait à le vivre à nouveau et un jour je lui ai même dit : je n’aurais pas dû porter plainte pour si peu surtout que au fond j’aimais cela.
Je regrette d’avoir dit cela car je n’aimais pas cela.
Mais j’étais programmée pour être abusée et utilisée et je voulais dire par la que une partie de moi avait intégré ce fait et pensait aimer cela. Quoiqu’il en soit, il n’avait pas à me violenter. Il m’a donné un coup de poing dans le ventre une nuit ou je rentrais de soirée disant : j’espère que tu as eu bien mal.
Il rentrait chez nous la nuit et volait mes anciens portables en m’envoyant ensuite des photos de moi nues trouvées dedans. Lorsque j’ai porté plainte, j’ai donc été en garde a vue et un psychologue m’a parlé trois minutes pour ensuite dire que j’étais bipolaire comme si cela expliquait donc que je mens et que je mens parce que je suis bipolaire.
En trois minutes il a jugé toute ma vie. Ne voulant pas lui parlé, je lui ai écrit en exprimant que mon père avait fait quelque choses sans savoir à ce moment ce qu’il avait fait car mon inconscient savait et tentait de dire: oui j’ai mes torts dans cette histoires, mes non ne sont pas assez fermes mais je suis fragilisée à cause de ce que j’ai vécu et cette personne en profite, aidez moi.
Il escaladait lorsque la porte était fermée,
le mur de la maison, pour arriver sur le balcon de ma fenêtre et je voyais en pleine nuit, des flashs de photos et je le voyais partir à toute bombe.
La police est venue une fois à la maison pour autre chose et ma mère leur a dit que je condamnait un innocent en parlant de lui.
Aujourd’hui elle me dit mais non ce n’est pas possible je n’ai pas pu dire cela… Je vivais seule avec elle. Lorsque j’ai porté plainte pour les vols de portables, j’ai été mises en garde à vue. J’ai eu des torts dans cette relation mais cela n’excuse pas son attitude qu’il ne reconnaît toujours pas me disant carrément qu’a cause de ce que JE lui ai fait, il a changé de ville.
J’ai eu des torts c’est vrai, je le reconnais mais il était tout de même, déséquilibré. Je ne l’ai jamais forcé à quoi que ce soit moi. Mais J’ai eu des torts.

J’ai été violée par un homme une nuit ou j’avais quitté mon nouveau compagnon car il était violent. Je n’avais plus de couches de vêtements à ce moment là où très peu et je pouvais faire l’amour. Avant c’était impossible même de me violer car j’avais comme septs jeans avec de la mousse dedans en plus avec 14 culottes, 20 t shirts et des pulls et j’avais des cloques sur la peau tellement ça me faisait mal. Par la suite j’ai cessé cela et il m’arrivait de mettre peut être deux jupes comme dans ce cas là mais pas plus.
Je traînais dans paris et je me suis confiée à un homme qui m’a proposé de m’héberger, mon tort a été de le suivre car au fond de moi j’avais cette programmation d’autodestruction et je cherchais inconsciemment à me faire attaquer et je sais que cela est un tort mais cela n’excuse pas le viol de ce monsieur.
Il a demandé à son ami d’aller acheter des cigarettes lorsque nous étions chez lui et il m’a violee très rapidement en ouvrant mon chemisier et en me mettant en levrette pour me pénétrer. Cela a été très rapide et je n’osais pas crier par peur de représailles.
J’essayais de me relever et il appuyait fort sur mon dos pour me remettre dans la position.
Son ami est revenu avec une autre fille et j’ai dit à là fille , partons il ma violée.
Mon compagnon qui m’avait sûrement suivie était la débarquant dans la nuit et le violeur était descendu de chez lui, c’était à la gare Saint Lazarre.. Mon compagnon de l’époque a voulu lui casser la figure alors je suis arrivée pour lui tirer les cheveux également et des jeunes sont venues filmer, j’ai dit il ma violee ! Ils ont répondu : t’avais qu’à pas te mettre en jupe. Ma jupe était très longue.
J’en avait deux l’une sur l’autre car je me trouvait maigre et je superposait les vêtements pour me protéger aussi.
Au commissariat, on ma demandée pourquoi j’avais mis deux jupes et pourquoi je n’avais pas de culottes. Ce qui est bizarre effectivement je n’avais pas mis de culottes alors que je voulais me protéger donc étais dans une contradiction permanente de protection et de mise en danger inconsciente mais je ne voulais certainement pas me faire violer. Je n’ai pas mis de culotte sans savoir pourquoi été sans avoir d’arrières pensées.
Et il m’a demandé si c’était parce que je voulais mettre la bête à l’air. Lors de la confrontation, Celui qui défendait la cause du monsieur me fixait pour chercher une anomalie chez moi avec un regard et un sourire qui disait je vais t’avoir espèce de petite menteuse.
Le coupable a dit à un moment donné : elle était la elle était belle avec sa jupe ses cheveux enfin il a dit quelques chose comme cela.
Il n’y a pas eu de suites. Faute de preuves j’imagine.

Plus tard, j’ai été dans la prostitution, j’avais un client, Medecin, qui un jour, ma droguée et violée toute la nuit de manière extrêmement violente en me couvrant d’insultes.
J’avais déjà remarquée qu’il était violent je n’avais jamais couchée avec lui d’ailleurs, je me souviens d’avoir bu un verre et de me faire violer dans le lit pour ensuite me réveiller le lendemain en pijama, dans le lit, j’ai un flash ou en pleine nuit, il ouvre a des gens qui entrent chez lui alors que je suis dans le lit.
Un jour, Nous étions avec des jeunes filles qui viennent chez lui après leurs soirées comme on vient chez un papa de substitution. Ce qu’elles cherchaient d’ailleurs et il ne se passait a priori encore rien avec elles, elle étaient très jeunes et il me disait qu’il aimerait bien coucher avec l’une d’entre elles en particulier mais qu’elle ne voudra jamais… Et nous faisions un jeu où nous nous posions des questions.
Et à un moment donné, sous coke car il en consommait beaucoup, il nous a expliqué que lorsqu’il faisait l’amour avec une femme en sachant que sa petite fille dormait à côté, cela l’exitait car il avait l’impression de le faire avec elle.
Il y a eu un gros blanc.
Apparement cet homme est connu pour droguer les filles en les trouvant au ******** à Paris. Que dois je faire ? J’ai son identité, je sais où il sors bien que cela date de plusieurs années et j’ai même une connaissance qui peut confirmer qu’il est connu pour cela.

J’ai vécu d’autres choses, une nuit, j’étais érrante dans la gare d’une ville inconnue après qu’un homme avec qui je ne voulait pas coucher m’est mise la.
Et un homme a commencé à me parler.
On est descendu dans un endroit un peu plus isolés et c’était encore mon erreur évidement, je me confiait à lui. J’étais comme une petite fille perdue lui expliquant que j’avais vécu des choses difficiles sans réussir encore à mettre des mots dessus et que je souffrais et que je cherchais à être aimée pour qui j’étais. J’étais habillée comme une prostituée à ce moment là. Je ne serait peut être pas crue mais il y a eu un moment où je m’habillais comme une prostituée et même comme un clown et je ne me rendait absolument pas compte que cela n’allait pas. C’est comme lorsque je me suis prostituée. Je ne ressentais rien, j’étais comme un zombie possédé et programmé mais qui au fond disait au secours aidez moi. Et certaines personnes pensent que je faisait cela consciemment en aimant cela réellement. J’étais dans un rôle de cinéma sans émotions ou très peu. Aucun plaisir sexuel en tout les cas. Je me mettais en danger évidemment mais c’était un appel au secours. C’était inconscient. Je pouvais dire
des choses que je ne pense pas comme” j’aime ce que je fait “.J’aimerais que les gens comprennent cela.
Il a fait semblant de m’écouter puis il m’a montré qu’il bandait et ses branlé en éjaculant sur moi.
À cet instant, j’étais hors de mon corps.
J’étais devenu un déchet incapable de partir, je venais de chercher de l’aide au mauvais endroit comme d’habitude et j’avais comme déconnectée, le regard dans le vide, je n’étais vraiment plus la et lui s’est branlé sur un cadavre assise sur les marches. J’étais assise et je regardais dans le vide. Je ne regardais même pas vers lui. Ensuite je suis remontée vers la gare et il est revenu avec un homme en me demandant si je pouvait sucer cet homme la.
Je suis partie en train. Il n’y avait pas eu une seule seconde de séduction de ma part. C’est ce qui ma surprise ici par la suite. J’étais juste la comme un zombie et il a fait son affaire.

Jai vécu d’autres traumatismes sexuels, harcèlements psychologiques etc mais je pense avoir raconté le principal.
Je rajouterais juste un dernier détail, un jour je voulais faire semblant de sauter d’un pont afin qu’on vienne m’aider.
Je faisait dangereusement semblant car j’étais passée de l’autre côté et je lâchait les mains pour vite rattraper la rambarde.
A cette époque, je superposait encore les couche de vêtements
et à l’hôpital, je refusait de me déshabiller pour l’examen par honte de cela et un homme, ma dit que si je ne le faisait pas rapidement, il le ferait lui même, il la dit de manière très agressive et dure alors que je venait d’arriver pour tentative de suicide.
Je me rappelle que ma mère est arrivée et j’ai été mise dans une pièce à part ou j’ai enlevé toutes mes couches que j’ai cachées dans un sac me sentant comme un petit vers mis à nus, comme un skelette avec un peu de chair encore sur les os, mais une chair à vif, une chair ouverte.
Je venait d’enlever ma carapace de protection.
J’ai lutté avec ces couches de vêtements, pendant des années. Je suis maintenant délivrée.
J’ai d’ailleurs rencontré Jésus qui m’a sortie de la ou j’étais et ma vie est reconstruite petit à petit. Je fais pleins de choses.
Je protège mon corps et je le respecte.
Je fais une formation de danse.
J’ai des personnes autour de moi qui m’aiment. Bon j’ai quelques soucis encore mais cela n’a rien à voir avec avant.

Merci de m’avoir lue, bonne journée à vous tous.

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